25.06 > 26.06

Peuples et musiques au cinéma

Tarifs : 6 > 13 €

Vendredi 25 juin · 21 h

Solelh Colc

Solelh Colc est un trio unique qui propose une musique énergique et positive, un quasi-rock au croisement du blues et de la musique cajun. Les chants se font en occitan, en cajun ou en anglais, pour créer un créole typiquement toulousain, aussi local qu’exotique, aussi ouvert qu’enraciné, entre audace et simplicité.


Samedi 26 juin · 19 h

Charq Gharb

Mira et Lamar se rencontrent enfants, au Conservatoire National Edward Saïd de Bethléem. Quelques années plus tard, en 2018, Charq Gharb nait de cette collaboration, réunissant ainsi leurs parcours artistiques. De la Palestine à la France, le duo s’inspire de leur propre identité pour créer une fusion musicale des mondes oriental et classique. Aujourd’hui basées à Toulouse, elles font naître un style original et personnel rajoutant une nouvelle couleur à la musique palestinienne. Le programme Bedaye est composé de morceaux inédits, fruits de leurs talents de compositrices, ainsi que d’arrangements de morceaux du répertoire traditionnel oriental. Dans ce « début » proverbial, cohabitent ainsi de grands compositeurs orientaux comme Abdel Wahab et Rabih Abou-Khalil, ainsi que des chansons de Fayrouz, Umm Kulthoum et Reem Banna, sous un jour revisité et arrangé à leur façon. Mais la véritable magie se produit sur scène, lors de leurs sessions d’improvisation aux sonorités qui révèlent l’alchimie entre les deux cultures.


Samedi 26 juin · 21 h

Patrick Novielo

“Tu viens d’où?” À cette question, nous sommes souvent amené·es à répondre. Mais le faire trop rapidement, c’est toujours un peu se trahir. Patrick Novielo a décidé de s’y attaquer à travers cette conférence théâtralisée et musicale. « C’est moi, c’est l’italien » entre humour et émotion, raconte ses origines en faisant appel aux grand·es auteur·es et à l’actualité. L’exil, la migration d’un côté, l’intégration de l’autre, et face à eux le nationalisme et le racisme : des thèmes contemporains dont le journaliste s’empare en s’appuyant sur son histoire familiale. Une petite histoire qui rejoint la grande. Tour à tour drôle ou grave, mais jamais moralisateur, l’auteur utilise des références populaires pour faire passer son message à tous, jeunes ou moins jeunes : ne jamais oublier d’où l’on vient pour ne pas reproduire les erreurs du passé.


pour aller plus loin...

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